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rue de Lompret
Tel: 36 31
Horaires:
du mardi au vendredi de 9h à 11h et de 14h30 à 16h30, le samedi de 9h à 12h
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Fermer203 avenue Maréchal Leclerc
Tel: 36 31
Horaires:
du lundi au vendredi de 8h30 à 18h, le samedi de 9h à 12h30
(bus l.10 et Corolle, arrêt Clouët)
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Fermer48 avenue de la Liberté
Tel: 03 20 14 52 80
http://www.maisondelemploi-mno.fr/
La Maison de l'Emploi offre une véritable plate-forme de services à ses usagers (salariés et demandeurs d'emploi) et aux entreprises.
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Fermer48 avenue de la Liberté
Tel: 03 20 00 91 40
http://www.mlmno.fr/
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FermerUne permanence est assurée en mairie par le service des impôts de Lille Ouest sur rendez-vous uniquement.
Contacter la mairie au 20 08 44 44, ou sur place directement à l’accueil de la mairie ou directement sur place auprès du centre des Impôts.
Courriel : sip.lille-ouest@dgfip.finances.gouv.fr
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Fermer19 avenue Clemenceau
Parc de l'hôtel de ville
Tel: 03 20 08 44 44
Horaires:
Lundi, mardi, mercredi : 8h00 – 18h00.
Jeudi : 8h00 – 14h00 et 16h00 - 19h30
Vendredi : 8h00 – 12h30
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Fermer19 Avenue Georges Clemenceau BP 90019
Tel: 03 20 08 44 44
Horaires:
Du lundi au mercredi de 8h à 18h - le jeudi de 8h à 19h30 - le vendredi matin de 8h à 12h30
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Fermer5 rue de Verdun
Tel: 03 20 08 44 55
Ouvert du lundi au vendredi, de 8 H 30 à 12 H 30 et de 13 H 30 à 17 H
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Fermerespace Saint-Exupéry
rue Blanchisseurs
03 20 35 54 14
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FermerLe PIJ est un espace d'accueil gratuit pour les jeunes où sont mis à disposition : une documentation complète, un accès internet, une aide à la rédaction de CV et lettre de motivation ... Tél : 03 20 08 44 06
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Fermeravenue du Colysée
Tel: 02 30 006 006
Horaires:
du mercredi au samedi de 13h à 18h, le dimanche de 13h à 19h.
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Fermer162 rue de la Carnoy
Tel: 03 20 08 44 67
Accueil du Mardi au Samedi de 15 h à 17 h.
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FermerRue Auguste Bonte
(accès rue A. Bonte et à l’arrière du cimetière avenue du Cimetière)
> Bus l. 53, arrêt Clinique de Lambersart
Ouverture : de 8h30 à 17h du 1er novembre au 30 avril inclus, et de 8h30 à 18h du 1er mai au 31 octobre inclus.
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Fermer39 rue de Verlinghem
> Bus l. 51, arrêt Cimetière
Ouverture : de 8h30 à 17h du 1er novembre au 30 avril inclus, et de 8h30 à 18h du 1er mai au 31 octobre inclus.
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Fermerchemin de Lompret
> Bus l. 10 et 53, arrêt La Carnoy
Ouverture : de 8h30 à 17h du 1er novembre au 30 avril inclus, et de 8h30 à 18h du 1er mai au 31 octobre inclus.
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Fermerallée des Ormes
> Bus l. Corolle, arrêt Alliance Nord Ouest
Ouverture : de 8h30 à 17h du 1er novembre au 30 avril inclus, et de 8h30 à 18h du 1er mai au 31 octobre inclus.
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Fermer244 avenue de Dunkerque
03 20 08 15 50
http://www.institution-sainte-odile.org/
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FermerMaternelle et Elémentaire
28 rue de la Carnoy
03 20 92 28 30
http://www.jeannet.fr/
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FermerMaternelle
355, rue du Bourg
03 20 55 99 85
http://ecoleperrault.hautetfort.com/
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FermerElémentaire
12 rue Bréguet
BP 194
03 20 92 44 83
http://netia59a.ac-lille.fr/~lotilambersart/
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Fermer244 avenue de Dunkerque
03 20 08 15 50
http://www.institution-sainte-odile.org/
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FermerAvenue Bonte (cimetière de Canteleu)
Quartier Canteleu
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FermerPour déchets verts uniquement. Site ouvert de mars à novembre, de 9h à 12h et de 13h à 18h les mercredis et samedis, sauf jours fériés. Et en décembre, tous les mercredis de 13h à 18h.
avenue du Maréchal Juin
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FermerLe Jardin Ecologique du Pont Royal est situé au croisement de la rue de Lille et de la rue du Cardinal Liénart. Cet espace fait l'objet d'un entretien et d'un aménagement destinés à favoriser le maintien et le développement de la biodiversité. Ce jardin a également une vocation pédagogique. Plusieurs réalisations ont été menés ou sont en cours tels que : plantation d'une haie naturelle; installation d'une prairie fleurie; pose de nichoirs à oiseaux, insectes, mammifères; fauche tardive pour favoriser la faune et la flore; recensement des végétaux et de la faune.
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Fermeravenue Le Nôtre
Avec une superficie de 6 710 m2, il est le plus petit parc de la ville de Lambersart, situé aux alentours des salles polyvalentes du Canon d'Or. Ouvert au public tout au long de l'année, ce parc est aussi utilisé par les
centres de loisirs et possède une aire de jeux pour les petits. Horaires: du 16 Novembre au 28 ou 29 Février, de 10 h à 16 h; du 1er Mars au 31 Mai, de 10 h à 19 h; du 1er Juin au 15 Septembre, de 10 h à 21 h; du 16 Septembre au 15 Novembre, de 10 h à 18 h.
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Fermeravenue du Colysée
A l'origine, le Colysée Royal, était un lieu de plaisirs et de fêtes, édifié au siècle des lumières par le prince de Soubise.
De nos jours, les deux jardins du Colysée nous transportent dans un univers original. Deux jardins contemporains, mosaïque et humide d’une superficie de 45 000 m2, créés à l’occasion de Lille 2004 : « Capitale européenne de la culture », offrent aux visiteurs de découvrir des nouvelles méthodes d’aménagement et un nouveau regard sur les végétaux.
Au croisement de deux bras d’eau et de promenades longeant la Deûle, le Colysée est un hommage à la nature. Horaires: du 15 Mars au 15 Octobre de 9h à 20h et du 16 Octobre au 14 Mars de 9h à 17h.
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Fermeravenue de Verdun
Ouvert tous les jours: du 15 mars au 15 octobre, de 9h00 à 20h30 et du 16 octobre au 14 mars, de 8h30 à 17h00.
Entourant la Mairie, avec une superficie d’environ 36 515 m2, le parc des «Charmettes» est composé de diverses essences d’arbres comme le tilleul, le cèdre du Liban, le marronnier et plus récemment des essences originales telles l’arbre caramel, l’arbre au mouchoir (Davidia), le savonnier (Koebreuteria panicula gold). Des bancs sont disponibles dans le parc ainsi qu'une aire de jeux pour les tous petits.
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Fermerallée Saint-Pierre
Site boisé d’une superficie de 13 201 m2, le Clos St-Pierre a gardé un caractère semi naturel.
Le parc du clos St-Pierre est un site arboré composé de quelques beaux sujets centenaires, il abrite également des espèces protégées (hérissons, chouettes hulottes, passereaux, écureuils …).
Horaires: de novembre à février de 9h à 17h, de mars à octobre de 9h à 18h, avril à septembre de 9h à 20h. Interdit aux chiens, même tenus en laisse. Interdit aux vélos.
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FermerPlatanus orientalis
Évolue dans un sol humide. Arbre particulièrement pauvre en biodiversité hébergée. Peut vivre jusqu'à 4 000 ans. Souffre de la pollution urbaine et de la sécheresse.
Localisation : parc des Charmettes, avenue de Verdun.
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FermerPlatanus orientalis datant de 1888
Évolue dans un sol humide. Arbre particulièrement pauvre en biodiversité hébergée. Peut vivre jusqu'à 4 000 ans.
Souffre de la pollution urbaine et de la sécheresse.
Parc du Centre De Gaulle, 164 rue de la Carnoy
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FermerAesculus hippocastanum
Souvent touché par un chancre bactérien et parfois infesté de cochenilles, le marronnier s’affaiblit en milieu urbain.
Clos St Pierre, allée saint-Pierre
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FermerPlatanus orientalis
Évolue dans un sol humide. Arbre particulièrement pauvre en biodiversité hébergée. Peut vivre jusqu'à 4 000 ans.
Souffre de la pollution urbaine et de la sécheresse.
Avenue de l’Hippodrome
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FermerFraxinus ornus
Favorisé dans les zones ensoleillées, en bord de rivière, ou en forêts mixtes. Le frêne couvre 2,6% de la forêt française.
Parc Jean-Louis Borloo
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FermerPlatanus orientalis
Évolue dans un sol humide. Arbre particulièrement pauvre en biodiversité hébergée. Peut vivre jusqu'à 4 000 ans.
Souffre de la pollution urbaine et de la sécheresse.
Avenue Bailly-Ducroquet (ancien pépinériste)
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FermerQuercus
Sols profonds, frais et bien alimentés.
Avenue Maréchal Leclerc
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FermerFagus sylvatica
Attire les lichens sur son écorce. Favorisé par les zones fertiles et bien drainées en eau.
Attire les insectes (pollinisation), les rongeurs, les sangliers, les blaireaux et les oiseaux (ex : pigeons ramiers) en fonction de sa localisation.
Allée du Castel fleuri
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FermerCette diversité d’espèce favorise la création d’habitats et constitue une ressource alimentaire pour les insectes, les petits mammifères et l’avifaune.
NB : Le lierre, peu esthétique, est cependant un couvert végétal essentiel dans le développement de cette biodiversité.
Avenue de la Liberté
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Fermer81 allée Georges Delfosse
03 20 93 27 11
(bus l.10, arrêt Jussieu)
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Fermer66 rue du Maréchal Juin
03 20 92 62 93
(bus Corolle, arrêt Foucault)
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Fermer4 allée du Béguinage
03 20 09 05 84
(bus l.10 et corolle, arrêt Clouët)
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Fermer15 allée du Béguinage
03 20 09 66 38
(bus l.10 et Corolle, arrêt Clouët)
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FermerAvenue Sainte Cécile
03 20 92 62 60
(bus l.53, arrêt sainte-Cécile)
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FermerAvenue du Colysée
03 20 93 03 26
(métro 2, arrêt Bois blancs)
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Fermer1 parvis Abbé Pierre, avenue du Parc
03 20 08 44 44
(busl. 10, arrêt lambersart Liberté)
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Fermer14 rue Marcel Derycke
03 20 92 60 01
> Bus l. 53, arrêt Ste Cécile
> messes dominicales : samedi 17h - dimanche 10h et 11h30
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Fermer11 place des Frères Thomas
Tél : 03 20 92 30 97
Bus l.10 et Corolle, arrêt St Calixte
> messes en semaine à la chapelle : mardi 9h et vendredi 18h30
> messe dominicale : dimanche 11h
Permanences : du lundi au samedi de 10h à 11h30 et
les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 14h30 à 17h.
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Fermer19 rue Saint-Gérard
> Bus l. 10, arrêt Gambetta
> messe dominicale : dimanche 10h30
> messe en semaine : lundi 9h
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Fermer28 rue Gabrielle Bouveur
03 20 22 02 92
> Bus l. 53, arrêt Blanchisseurs
> messes dominicales : dimanche 10h et 18h30.
> messe en semaine : vendredi 8h30.
Permanences le mercredi de 9h30 à 11h30 et le vendredi de 16h30 à 18h30.
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Fermer10 rue Levasseur
Tél : 03 20 92 40 18 - Fax : 03 20 00 89 11
> Bus l. 53, arrêt Cité Familiale
> messe dominicale : samedi 18h30.
> messe en semaine à la maison paroissiale : mercredi 8h30.
Permanence : le mardi de 17h à 18h30.
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Fermer48 rue de l’abbé Lemire
Tél. : 03 61 78 00 49
> Bus l. 10 et Corolle, arrêt Clouët
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Fermerangle Flamant Reboux, devant le café "Le France" et en face de la librairie "Temps Lire"
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Fermerangle rue des Martyrs de la Résistance, en face de la Caisse d'Epargne
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Fermerrue Henri de Moraes
1 au niveau du parking
1 au niveau de l'entrée
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Fermeravenue de Dunkerque
devant la pharmacie, pas loin du Crédit Mutuel
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Fermer27 - 29 avenue de l'Amiral Courbet
Ce terrain, vendu en 1893, a été loti de deux villas mitoyennes dans les années 1920. Similaires dans leur composition et dans l'utilisation de la brique et du faux colombage, elles se personnalisent par une tourelle d'angle et un bow-window. Un arc tendu formant loggia souligne les baies du salon. A noter, la présence d'un vitrail contemporain éclairant l'escalier au n° 27.
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Fermer34 avenue de l'Amiral Courbet
Construite en 1896 pour assurer la sécurité du voisinage, l'ancienne gendarmerie (aujourd'hui transformée en habitat social) forme un bâtiment en « L » en brique et pierre qui a conservé son caractère régionaliste. On notera : les entrées soulignées par un avant-corps à léger ressaut couronné par un pignon à pas de moineaux, les baies en plein cintre de briques émaillées avec des dés passantes. L'expression massive rappelle la fonction originelle tout en respectant le caractère urbain.
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Fermer35 avenue de l'Amiral Courbet
Selon l'expression même du vendeur, M. Ory, cette « maison de plaisance genre chalet » fut construite en 1892. Elle se compose d'un corps principal flanqué d'une tour hexagonale et d'une aile en retour dont le pignon à oculus est souligné par une toiture débordante soutenue par une charpente retroussée reposant sur des jambes de force chantournées. On remarquera l'alternance de briques rouges et blanches.
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Fermer52 - 54 avenue de l'Amiral Courbet
Construites en 1920, ces deux maisons identiques forment un même lot. La brique de parement jaune rehausse le décor discret des arcs en brique émaillée. Le troisième niveau est isolé par un bandeau en mosaïque tandis qu'un décor en damier forme une frise sous la toiture débordante. A noter : les cartouches en mosaïque identifiant les villas et les balcons en fonte.
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Fermer20 et 22 avenue de l'Amiral Courbet
Ces deux imposantes villas de 1935 forment un ensemble symétrique réuni par une loggia courant sur toute la longueur de la façade. La forme des ouvertures et leur emplacement, les jeux de brique de parement de couleur orangée forment l'essentiel de la composition architecturale de l'époque (sauf n°40).
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Fermer21 - 25 avenue de l'amiral Courbet
Construites dans les années 1890 sur une parcelle étroite, ces deux villas de même plan en «L» bordent un passage qui menait à une grande villa aujourd'hui disparue. Les façades jouent de simplicité : cordons de brigues blanches et noires, cartouches en losange et portes en plein cintre soulignées par une archivolte. On notera la présence de linteaux métalliques ainsi que des corbeaux disproportionnés qui soutiennent une toiture largement débordante.
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Fermer4 avenue de l'Amiral Courbet
Conçu vers 1900, cet édifice étroit et élevé a perdu son décor en partie haute. Seul subsiste le décor polychrome en rez-de-chaussée. Détails remarquables : la grille très ornée de la porte d'entrée et l'imposant garde-corps du premier étage.
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Fermer64 avenue de l'Amiral Courbet
A deux travées, elle présente un avant-corps simulé par la brique jaune. La succession des grandes ouvertures avec balcons et le couvrement à croupe donnent une composition élancée. On notera également la porte d'entrée en ferronnerie.
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Fermer74 avenue de l'Amiral Courbet
Édifiée sur un terrain acheté en 1920 aux consorts Groulois, cette villa, en brique de parement et linteaux en béton {à coussinet sur arcs de décharge), reprend le vocabulaire architectural de la fin du XIXème siècle: arcs de décharge, jambes de force démesurées, faux avant-corps surmontés d'une lucarne passante à fronton interrompu par un pinacle caractérisent la travée principale.
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Fermer9 avenue de l'Amiral Courbet
Construite en 1885, la villa marque l'entrée de l'Avenue de l'Amiral Courbet. Elle attire l'attention par la puissance de ses volumes et son éclectisme d'influence gothique. Son appareillage, alternant briques et pierres, est rehaussé par des bossages d'angle. La tour de plan carré repose sur des arcs brisés surmontés de tympans ornés d'une lyre et de l'inscription « Villa Santa Caecilia ». On remarquera également la frise lombarde au-dessus des deux baies jumelées.
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Fermer3, 5,7, 9 avenue de l'Amiral Courbet
Édifiée sur quatre parcelles, la villa Suzanne, de style régionaliste, laisse apparaître une volonté de symétrie. Les n°3 et 9 sont réunis par un pignon avec lucarne à deux versants, même composition pour les n°5 et 7. Détails remarquables : le corps central surmonté d'un pignon à pas de moineau orné d' une petite tourelle polygonale formant pinacle et la frise lombarde.
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FermerPlace du Dr Martin
A la fin du XIXè siècle, les lotisseurs achetaient des prairies, les divisaient en parcelles de cinq mètres pour y construire des maisons de ville, qu'ils revendaient ensuite par lots. Ces maisons anciennes de deux ou trois travées étaient connues selon un plan type : salon, salle à manger, véranda, avec en annexe : cuisine, buanderies et sanitaires. Répandues dans toute l'agglomération lilloise, souvent appelées maisons d'employés, ces habitations semblables forment un rang de façades identiques. C'est le cas des numéros pairs de la place du Dr Martin. On retiendra l'exemple des maisons similaires de 1903.
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Fermer11 à 17 avenue de l'Amiral Courbet
Cet immeuble existait en 1886. De caractère régionaliste, il se développe sur quatre parcelles selon une composition unique et symétrique. L'avant corps central, à ressaut, est amorti par un pignon à pas de moineaux orné d'un pinacle hexagonal qui se distingue de celui à boucle des ailes en retour. On remarquera les lucarnes polylobées et les baies jumelées aux arcs interrompus.
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Fermer66 à 72 avenue de l'Amiral Courbet
Nous avons ici un bel exemple de parcellisation d'un lot selon une composition unique. Le rythme répétitif des façades est interrompu aux extrémités par des lucarnes passantes à croupes. Le décor géométrique est à même le mur, le brisis apparaît en couverture.
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Fermer51 avenue de l'Amiral Courbet
Édifiée sur un terrain vendu en 1887, elle respecte le cahier des charges contraignant de M. Ory tout en révélant des signes d'éclectisme par ses références au Moyen Age : tourelle d'angle à mâchicoulis et toiture conique en épi. Le bow-window du corps principal est orné d'un superbe vitrail. La travée de l'aile en retour est fortement soulignée par la superposition des ouvertures.
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Fermer7 avenue de l'Amiral Courbet
Le n° 7 propose un exemple de maison bourgeoise à front de rue d'expression néoclassique. Sa composition symétrique est affirmée par une travée centrale à fronton triangulaire et une baie jumelée avec balcon sur console. Détails remarquables : les frises à décor végétal et les archivoltes.
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Fermer50 à 28 avenue de l'Amiral Courbet
Construites dans les années 1930 sur de larges parcelles ces maisons de ville en brique de parement présentent des façades individualisées jouant de la diversité des ouvertures ou de la persistance de modèles tels le bow-window, au n°48, daté de 1938. Elles révèlent aussi une nouvelle forme d'organisation liée à l'apparition du garage qui renvoie l'habitation à l'étage.
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Fermer45 avenue de l'Amiral Courbet
Conçue vers 1895 selon le cahier des charges des consorts Groulois, cette villa comprend un corps principal avec une aile en retour et une tourelle abritant l'escalier. Cette grande demeure d'expression éclectique se distingue par son ornementation architecturale foisonnante. Le porche néoclassique à trois arcs en plein cintre reposant sur des colonnes à chapiteau est surmonté d'une balustrade néogothique. La travée centrale est magnifiée par une baie sous arc de décharge et croisillons de pierre. L'avant-corps est également souligné par un fronton au décor puissant.
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Fermer229 - 231 avenue de l'Hippodrome
Cet immeuble né avec le 20e siècle forme un seul bâtiment fait de deux travées symétriques. Si la façade reste rationaliste (l'ornementation architecturale est plutôt sage), les versants de la toiture supportés par des corbeaux démesurés présentent un débord à croupe, prétexte à quelques exploits de charpenterie. A noter les bandeaux de pierre sur fond de briques peintes, les trames identiques et symétriques, le bow-window en bois surmonté d'un balcon.
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Fermer336 avenue de l'Hippodrome
"La Pagode" a été construite en 1920 par un ancien officier nostalgique des demeures orientales. Le rez-de-chaussée avec un étage en retrait s'inspire en effet de l'architecture asiatique. A noter: les couvertures à corne en tuile mécanique, la lanterne au-dessus de l'entrée à colonettes.
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Fermer219 avenue de l'Hippodrome
La villa des Clématites, construite vers 1896 sur une parcelle modeste nichée dans la verdure, comporte une tour cylindrique aujourd'hui orpheline de sa poivrière. L'entrée est soulignée par des lucarnes passantes à deux versants, le balcon surplombe un bow-window. Détail remarquable : le décor losangé en brique jaune et rouge. La modestie de l'ouvrage respecte le goût de l'époque.
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Fermer220 avenue de l'Hippodrome
Surmontée d'une imposante couverture en ardoises la villa des Roses, construite en 1894, montre une grande liberté d' expression dans la confrontation des volumes et l'ornementation architecturale. Détails remarquables : la diversité de forme des baies, les croisillons de pierre et certains vitraux en imposte qui rappellent la fin du XVIè siècle, la frise faite de décors peints et rehaussée d'un bouton de terre cuite émaillée, alternant avec de puissants corbeaux sculptés, la haute toiture à versants dont les faîtières arborent des crêtes de fonte. Un léger avant-corps étroit forme une pseudo-tour couverte par une flèche à pavillon, avec une entrée principale à imposte géminée. Un décor peint accompagne l'identification de la villa.
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Fermer248 avenue de l'Hippodrome
La villa Magalex, construite en 1933, présente un témoignage de l'architecture des années 30. Cette maison de ville à deux travées, conçue sur le modèle des "maisons d'employés " est dotée d'une façade en brique de parement avec décor géométrique en béton et ciment, et dispose d'un garage rejetant le rez-de-chaussée auquel on accède par un escalier extérieur. La présence d'un bow-window et la toiture dissymétrique complètent le "type".
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Fermer233 avenue de l'Hipprodrome
La villa Nelly construite en 1910, est une grande demeure qui se développe en profondeur sur deux niveaux surélevés. La façade rue comporte un imposant bow-window reposant sur console et une baie en anse de panier au rez-de-chaussée. Côté jardin, un avant-corps à ressaut, couvert d'une toiture débordante avec une ferme retroussée formant décor, accueille d'immenses baies sur deux niveaux. L'entrée est surmontée d'un porche en bois formant terrasse sur fond de briques peintes. A noter le décor sévère (arcs alternés en brique émaillée, frise de corniche) du deuxième corps de bâtiment.
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Fermer193 avenue de l'Hippodrome
La villa Saint-Charles a été construite en 1893 par l'architecte Victor Mollet pour son frère Charles. L'entrée du bâtiment principal est soulignée par un arc en plein cintre reposant sur des colonnettes en marbre (arc en brique émaillée et archivolte blanche), et s'ouvre par une porte à imposte rayonnante à deux battants. Remarquable par sa flèche élancée à pans coupés, agrémentée d'une frise à l'antique en faïence émaillée, la tour, symbole de puissance sociale, est de section carrée à coins tronqués et prend l'allure d'un beffroi régional. Lauréate du concours de villas organisé par Edmond Ory, la villa Saint-Charles a été inscrite en 2000 à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
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Fermer218 avenue de l'Hippodrome
Construite vers 1894 par l'architecte Albert Baert et habitée par l'architecte Georges Boidin, la villa Saint-Georges comporte une tour porche étroite faite de briques alternée de bandeaux de pierre et de brique jaune, dont le tympan est orné d'une mosaïque signée Coilliot et représentant Saint Georges terrassant le dragon. La façade principale offre une grande diversité de formes de baies. Détails remarquables : la lucarne passante à deux versants dont la menuiserie est très ouvragée, la frise dont les corbeaux servent de support au dévers de la toiture, la ferronnerie des balcons de la terrasse. La villa a été inscrite en 2001 à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
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Fermer191 avenue de l'Hippodrome
Construite en 1887, la villa Saint-Louis a été conçue comme une « maison de plaisance », genre "chalet de campagne" (emploi du bardage de bois). Détails remarquables : le bow-window et son balcon de bois ouvragé, l'importante véranda en bois ouvragé avec porte d'entrée à vitrail, la tour encastrée à plan carré dotée d'une couverture en ardoise à quatre versants et d'une charpente à ferme retroussée soulignant les baies géminées.
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Fermer309 avenue de l'Hippodrome
La villa Sdez (1933), du nom de son premier propriétaire, a été construite par l'architecte Marcel Boudin dans l'esprit de la villa Cavrois (Mallet-Stevens). Il est le fils d'Henri Boudin, architecte de l'ancienne mairie, édifice conçu dans un style académique 35 ans plus tôt à l'angle de l'avenue de l'Hippodrome et de l'avenue Delecaux. La conception de la villa Sdez s'inspire de la mode paquebot de l' époque (hublots et rembardes horizontales) et de l'art déco (volumes parallélépipédiques ici amortis par un demi-cylindre; décor réduit à la forme rectangulaire ou ronde des baies sur un fond soigné de plaquettes en terre cuite jaune orangé). Constituée d'un corps de bâtiment en terrasse relié à un garage par une galerie agrémentée de moulages d'antiques, la villa s'ouvre sur une porte d'entrée en ferronnerie ouvragée surmontée d'un porche à auvent en béton. Elle a été inscrite en 2001 à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
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Fermer205 - 211 avenue de l'Hippodrome
La villa Victoria a été conçue en 1895 comme une seule et grande demeure alors qu'elle a été construite par quatre propriétaires différents, désireux de faire valoir chacun leur goût personnel. Située très en retrait, elle est constituée d'un bâtiment principal doté d'une haute couverture à deux versants et d'un bow-window, d'une tour massive en brique avec décor de brique jaune. Détails remarquables : les lucarnes passantes aux formes variées où dominent des menuiseries puissantes et chantournées, le perron de l'avant-corps et son garde-corps en bois, les arcs tendus en briques émaillées alternées.
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Fermer185 - 187 avenue de l'Hippodrome
Comme sa voisine du n°l87, le n°185 est une maison bourgeoise tardive (1900). De composition classique, elle comporte un rez-de-chaussée surélevé d'un étage noble et une toiture à versants dissymétriques en ardoise avec lucarnes à pavillon. À noter le rez-de-chaussée à bossage continu, le dessin des menuiseries, la grille de clôture et sa porte d'entrée en fer forgé, le bow-window en bois, la baie plein cintre et son arc en briques alternées et fers d'ancrage, la frise classique ornant les baies du 1er étage.
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Fermer148 avenue de l'Hippodrome
Cette maison de ville construite en 1913 est la seule "rescapée" d'un rang d'habitations du même style qui se prolongeait jusqu' à la « Tortue » (les autres maisons ont été incendiées en mai 1940). Faite de brique et de pierre de Bourgogne, elle comporte une toiture à haut versant en ardoise. Signes particuliers: un pignon à pinacle, des baies géminées, une frise florale en mosaïque, un balcon dont le garde-corps est inspiré du 17è siècle, une porte d' entrée couverte d'un linteau à crossettes.
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Fermer345 avenue de l'Hippodrome
Caractéristique du mouvement art déco, cette villa a été conçue par l'architecte Marcel Boudin en 1935, de manière à composer une façade principale en deux parallélépipèdes imbriqués, la coursive conduisant au garage. A noter l'absence de décor, le percement parcimonieux des baies sur la façade de l'avant-corps, le revêtement des parois par des plaquettes de terre cuite placées en boutisse panneresse. Un portique avec balcon souligne l'entrée côté jardin.
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Fermer289 avenue de l'Hippodrome
Cette villa isolée, conçue sur le modèle "cottage anglais" et datant de 1935, comporte un porche d'entrée couvert d'un auvent en béton supporté par des colonnettes à section carrée amorties par l' interprétation d'un chapiteau. L' axe principal est souligné par le garage (rejetant l'habitation à l'étage), le bow-window et la lucarne imposante. A noter la partition entre la brique de parement et le faux colombage du second étage, la toiture en tuiles plates.
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Fermer260 avenue de l'Hippodrome
Cette villa éclectique tardive (1910), de taille modeste, située sur une parcelle étroite, retrouve l'esprit des immeubles de la fin du 19e siècle : présence d'une tour aujourd'hui orpheline de sa toiture en ardoise, variété de forme des baies, couvrement à deux versants, dessin du faux colombage tout en courbes élégantes, dessin des ferronneries des balcons, de la porte d'entrée et de la grille de clôture (on pense à Viollet Leduc).
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FermerAVENUE DE L'AMIRAL COURBET
Place du docteur Martin : calme et beauté
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FermerAVENUE DE L'HIPPODROME, LES VILLAS DE L'ECLECTISME
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FermerAVENUE DE L'HIPPODROME, EXPRESSION DE L'ART DECO MODERNE
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Fermer(devant la salle Malraux)
L'AVENUE DU MARÉCHAL LECLERC,
ex-avenue Derville
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Fermerau RDC côté canal relais de L'Espace Naturel Lille Métropole de mai à octobre; plaine du grand tournant en rapport avec le canal historique de la haute-Deûle, qui faisait là un coude, où les péniches s'amarraient avant d'entrer à Lille par la Porte d'Eau (c'est actuellement le bras du Canteleu : de la gare d'eau des Bois-Blancs à Lille en face d'Euratechnologies, il borde et rue Hégel (passe sous pont de Canteleu) et l'avenue de Soubise, est coupée par le canal de dérivation à grand gabarit de 1978, puis suit l'avenue Mathias Delobel et longe le bois de Boulogne, le zoo de Lille jusqu'à l'écluse de la Barre).
Avant 1978, l'avenue de Soubise à Lambersart continuait en face le long du Bois de Boulogne: voir alignements de platanes centenaires de part et d'autre du canal .
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FermerFlore de chemin et de berge sauvage (dont orties pour les chenilles de papillons tels que Paon du Jour, Petite Tortue et Vulcain), observation d'oiseaux d'eau (poules d'eau, canards colvert, hérons cendrés, grèbes huppés, cormorans, mouettes et goélands), haie champêtre séparant le chemin de l'avenue (charmes, érables champêtres, viornes obiers...). Faire attention aux pêcheurs, promeneurs et leurs chiens. Les péniches de type Frécinet circulent sur ce canal jusqu'aux années 1960. Maintenant petits bateaux de plaisance ; avirons depuis 1880, canoë-kayaks plus récents.
Avant d'arriver sous le pont de Canteleu: figuier sauvage et anciens rails de la motrice de halage de péniche au sol.
Remonter et revenir au Colysée par l'avenue de Soubise.
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FermerOeuvres des paysagistes Gilles Vexlard et Laurence Vacherot du cabinet parisien “Latitude Nord” en 2004 :
- le jardin mosaïque évoque le patchwork des photos aériennes de Yann Arthus Bertrand : visiter les parterres de plantes entre les surfaces minérales. Présence d'une borne de 1670 déplacée délimitant l'extension de la banlieue de Lille lors de la construction de la Citadelle Vauban. A côté, base de colonne déplacée du temple de l'Amour, vestige du parc du Colysée Royal (1787-1792) inspiré du jardin de la Reine Marie-Antoinette près du Petit Trianon à Versailles. Ce parc a donné son nom à la Maison-folie de Lambersart.
Un bassin pour les modélistes en herbe et leurs bateaux complète ce premier jardin.
- le jardin humide s'inspire des jardins asiatiques: il est traversé de petits canaux et se termine par une mare verte de joncs, lotus et nénuphars, iris d'eau et roseaux, survolée par les libellules en été et peuplée de limnées (escargots d'eau à la coquille pointue), sur fond de bambous.
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FermerRejoignons plus au nord, en passant par le site de Lambersart-Plage, le passage, parsemé d' acacias cinquantenaires, menant à l'église moderne Notre-Dame de Fatima de 1958. Le quartier du Champ de Courses a un nom évocateur car il est construit sur l'ancien hippodrome lillois du Bois de la Deûle. En face se trouve le square du Cardinal Liénart, avec de beaux sujets cinquantenaires, mélange de feuillus (érable sycomore, tilleul, cerisier, saule...) et résineux (cèdre, cyprès). En faire le tour...
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FermerReprendre le passage aux acacias et le chemin longeant le canal vers la passerelle Vauban/République, puis continuer le chemin vers l'écluse du Grand Carré (4 m de dénivelé): bosquet en gestion différenciée avec prairie fleurie en fauche tardive l'été pour avantager les plantes-hôtes de la microfaune, dont les insectes butineurs, comme les abeilles et papillons, en voie de disparition à la campagne en raison des pesticides . Au sas de l'écluse, prendre à gauche la piste cyclable montant à droite sous un bois vers le Pont Royal.
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FermerArrivés au pont, tournez à gauche et prendre plus loin la piste de gauche puis à la fourche à droite: la piste cyclable descend vers le bout de l'avenue du Canon d'Or. Par le chemin bordé de platanes, rejoindre l'entrée de la rue de Lille où vous observerez les tilleuls penchés sous l'effet du vent dominant d'ouest.
Vous avez traversé LE JARDIN ÉCOLOGIQUE DU PONT ROYAL, qui est géré par l'association de quartier PACEL depuis 2010 : prairies de fleurs sauvages, bois, nichoirs pour oiseaux, chauves-souris et insectes ont été posés.
Remontez la rue de Lille, tournez avenue Pottier à gauche, puis avenue Le Nôtre à droite...
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FermerDe beaux sujets : tulipier de Virginie, poirier et noyer (seuls arbres fruitiers municipaux), aubépine, pins sylvestres au fond...; ancien parc privé d'un particulier (de la famille de Pierre Nuytten) qui l'a offert à la paroisse St-Gérard d'où son nom. La paroisse vendit le parc ensuite à la commune (château incendié en 1968 : site du CCCO).
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FermerContinuer avenue Le Nôtre jusqu'à la belle avenue Bailly Ducroquet, et son alignement central de platanes de 1930, date de son ouverture à la voirie publique. Monsieur Bailly Ducroquet fut maire et lotisseur de cette partie du quartier du Canon d'Or en 1909, peu avant son décès; pépiniériste, il donna aux avenues les noms de Le Nôtre, célèbre architecte et jardinier de Louis XIV, et de Jussieu, célèbre famille de botanistes (ainsi que la rue Nicot, qui importe la plante à tabac en France et l'acclimate ; et la rue Muylaert qui s'appelait avant avenue de la Pépinière).
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FermerPrendre la rue de Lille à gauche jusqu'au giratoire du Saut du Loup : à l'entrée de ce giratoire, prendre à gauche le début de la rue de Lille, où se trouve contre un talus planté d'arbres et sous les plantes rampantes, un muret en moellons de silex. Il y avait un fossé près de ce muret, d'où le nom du lieu-dit: “saut du loup”, déformation de saut-de-loup: ouvrage paysagiste consistant à éviter l'introduction de voleurs (et les loups et autres bêtes sauvages) dans les propriétés des châteaux qui étaient nombreux dans cette partie de la rue de Lille. Le château de la famille Vennin qui était situé au centre du giratoire s 'appelait aussi le château du Saut du Loup.
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FermerPrendre l'avenue de l'Egalité puis au rond-point à droite le boulevard de l'Alliance Nord-Ouest. Au feu dans la descente tourner à gauche rue Gounod (mieux vaut descendre de vélo sur trottoir de droite et traverser par le passage piéton). Rejoindre la “mare aux canards”, mare historique de la ferme de la Cessoie (le « lac des cygnes » du quartier car ces rues portent des noms d'opéras). Ce quartier pavillonnaire, construit sur une partie du parc du château de la Cessoie, occupé depuis 1948 par la congrégation des Soeurs Bernardines et son groupe scolaire, est l'objet d'une convention de parc protégeant les arbres.
Le terme Cessoye évoquait en vieux français un lieu planté de cessiers : des cerisiers sauvages (merisiers).
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FermerRevenir par le boulevard de l'Alliance Nord-ouest; au giratoire, prendre à droite l'allée des Ormes : vous vous trouvez dans le Triangle des Ormes, espace isolé en fin de compte par les voies de chemin de fer de 1848, 1893 et 1923. Sur la droite de l'allée se trouve le nouveau cimetière paysager; sur la gauche le château des Ormes, possédant des chambres d'hôtes, une salle pour séminaires et un beau parc, avec un mur demi-circulaire (tilleuls derrière) protégeant autrefois le potager des vents dominants du nord-ouest et restituant sa chaleur la nuit.
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FermerRemonter l'allée des Ormes et au giratoire se trouve en face l'entrée avec belvédère du nouveau parc urbain Jean-Louis Borloo, issu de la rénovation urbaine du Pacot-Vandracq (2007-2014). Ouvert au public en 2013, il s'étale près du Pôle Sportif sur une colline artificielle avec jardins de rocaille, murets de jardin, massifs, aires de jeux. Un mail avec canal d'eau forme une perspective continuant par l'avenue du Parc et ses noues jusqu'à l'église Saint-Calixte. Un frêne plus que centenaire domine le centre du parc.
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FermerRejoindre l'avenue du Parc, puis au niveau du Pôle Animation, tourner à droite pour rejoindre à gauche l'allée St-Paul puis encore à droite rue de Verlinghem. Entre les deux passages à niveau, prendre à droite l'allée Saint-Clément jusqu'au fond pour atteindre les jardins situés sur la droite du chemin.Vous êtes à nouveau dans le Triangle des Ormes. Derrière les jardins et les grands peupliers se trouve le parc du château.
D'abord vous verrez le jardin d'insertion et d'animation, grand jardin collectif où oeuvre l'ARAS, association d'insertion travaillant avec des adultes. Elle reçoit également des enfants pour des animations pédagogiques sur le jardinage et la nature. On y trouve potager, verger, fleurs,station météo, bac à compost et une grande mare (celle de la ferme croisée allée St-Paul).
Puis les jardins familiaux, parcelles individuelles occupées par des particuliers regroupés en association. Enfin, tout au bout du Triangle, de nouveaux jardins familiaux, avec leurs cabanes en bois toutes neuves (2007). Ces jardins font du bio (traitements limités).
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FermerRebroussons chemin jusqu'aux passages à niveau et reprenons à droite la rue de Verlinghem pour s'arrêter au parc du Clos Saint-Pierre (ouvert en 2006), aux hêtres, marronniers et platanes centenaires au port en forme de chandelier, plantés vers 1880 par le brasseur lillois Paul Delemer autour de sa maison de campagne (agrandie en villa St-Pierre par Oscar Debourse à la naissance de son fils Pierre en 1928, elle sera détruite en 1968). Une partie du parc est laissée à l'état naturel (bois interdit au public) et l'autre en gestion différenciée (ouvert au public). Le parc est aménagée pour recevoir des enfants en animation nature (abri) : découverte des arbres, de la microfaune de la litière, des oiseaux (nichoirs installés), etc... Un sculpteur sur bois a imaginé quelques animaux (chouette et hérisson présents en vrai sur le site, et écureuil) cachés dans ce parc : à vous de les retrouver! Des bancs sont taillés dans des troncs.
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FermerContinuons par la rue de Verlinghem en direction de la ferme du Mont-Garin. Devant le chemin pavé bordé de tilleuls et menant à la tour-porche de la ferme, une petite chapelle dédiée à Notre-Dame des Champs fait face à la route. Sur l'autre trottoir s'étale le grand cimetière paysager consacré aux militaires allemands tombés lors de la 1ère guerre mondiale (cimetière créé en 1921): tombes et bouleaux blancs espacés (aménagé en 1947 en paysager).
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FermerReprendre la rue vers l'église, tourner rue du Bourg à droite, traverser l'avenue de l'Hippodrome pour prendre la rue de la Carnoy (ce nom évoquait un terrain planté de charmes); à gauche, devant la Maison de la Musique, jardin avec une collection de graminées. Plus loin à droite, domaine du Ginkgo soit l'ancien parc du château Saint-Louis de l'ancien maire Félix Clouët des Pesruches (1892-97) puis résidence d'été de la famille Wallaert, filateurs lillois.
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FermerPrendre à droite l'avenue Clémenceau aux acacias-boules (se nommait avenue des Acacias avant 1920) : serres municipales et mairie (HDV) au n° 19, qui est depuis 1949 dans le château du Pré Fleuri de 1913 : devant, un jardin à la française avec alignements de tilleuls parfaitement taillés et jointifs, parterres géométriques de fleurs, pelouses au cordeau. Conçu par le paysagiste J. Contal en 1912, et dont le jardinier-chef en était Victor Wartelle, élève de Vilmorin et Truffaut.
Derrière et à droite de la mairie, parc boisé avec sentier de promenade qui était traité en jardin paysager à l'anglaise (interrompu par le parking et la sortie vers rue de la Carnoy qui n'existaient pas avant 1983 et l'extension de la mairie où il y a l'accueil actuellement) avec cèdre de l'Atlas, vieux ginkgo, continuant sur le côté du parc des Charmettes. Faire le tour.
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FermerPar un sentier à droite entre les buissons, accéder au parc paysager des Charmettes au style romantique, avec son kiosque à musique et ses arbres amples et majestueux: voir les hêtres pourpres et platanes près du kiosque ; et aussi tilleuls argentés et érables sycomores (trous en hauteur dans les troncs: présence de pics épeiches et pics verts). Le tronc d'un hêtre ressemble à une tête de calamar géant avec ses deux yeux).
Le château des Charmettes fut construit en 1903, et fut mairie en 1937, détruite en 1940 ; son souvenir est symbolisé par 4 grands cyprès et un boulingrin (de l'anglais « bowl in green », terrain de jeu de boules comme le croquet) formant un rectangle en face de l'entrée du parc avenue de Verdun. Parc réaménagé en 1950. Ancien pigeonnier et cabane à outils (WC actuels).
Ressortons par l'avenue de Verdun et rejoignons à gauche la place de la Victoire (ancienne place des Tulipiers); prendre l'avenue du Maréchal Foch en face.
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FermerAu carrefour, admirer à gauche et à droite les alignements de platanes plus que centenaires de la grande avenue de l'Hippodrome. Le lotissement du quartier de l'hippodrome lillois est conçu par l'avocat Edmond Ory-Groulois et sa belle-famille, propriétaires terriens de ces parcelles de prairies achetées pour spéculer. Le cahier des charges est très strict pour la construction de belles villas au style éclectique de l'époque (concours architectural pour motiver la qualité et la beauté, de 1886 à 1901, la villa St-Charles en fut lauréate); convention “Ory” entre Lambersart, la société de tramways et la Ville de Lille qui aménage fin 19è siècle l'avenue arborée par son ingénieur des travaux publics Alfred Mongy; Lille entretient les voiries de ce quartier jusqu'à la dénonciation de la convention et l'accord bipartite de 1950. Il reste environ 280 platanes sur les 300; il sont sous “surveillance médicale” (attention aux champignons).
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FermerPrendre à droite l'avenue de l'Hippodrome, passer le carrefour avec la rue Auguste Bonte, pour rejoindre la belle avenue de l'Amiral Courbet à droite: observer le retrait des maisons comme dans l'avenue de l'Hippodrome, avec des jardinets devant (dont certains ont ensuite été aménagés en place de parking) évoquant bien la « Lambersart-la-jolie » son surnom d'autrefois; parcourir cette avenue jusqu'à la place du docteur Martin et son square, place à l'anglaise de 1885 en carré (les arbres actuels la bordant sont de 1928). C'est le rendez-vous des joueurs de pétanque.
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FermerEn faire le tour et prendre près de l'avenue Courbet l'avenue Debuire du Buc puis, avant l'entrée du stade Guy Lefort (aménagé sous ce nom en 1937, puis modernisé en 1970, enfin avec pelouse synthétique en 2010), à gauche l'avenue Groulois, bordée d'acacias boules, avec à leur pied des roses trèmières. Au carrefour avec l'avenue de l'Hippodrome, prendre en face l'avenue Poullier bordé des mêmes platanes. Au carrefour se trouve en face l'avenue du Pesage, qui correspond à l'ancienne entrée de l'hippodrome (bordé encore partiellement de platanes du même âge que ceux de l'avenue de l'Hippodrome). Tourner à droite avenue Pasteur pour rejoindre le Colysée au fond.
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Fermerparking du Métro Lomme-Lambersart
Lilas Auto-Partage 03 20 74 07 40
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